Camille Huber-Beaulieu, directrice d'agence PRIAMS, Ile-de-France, developpement et prospection foncière.

Camille Huber-Beaulieu
PRIAMS - Directrice d’agence – Ile de France

“Promolead simplifie, accélère de manière substantielle la prospection grâce à des synthèses de la prospection. Cela nous permet la construction d’une vraie base de données.”

Interview
& Témoignage

Quel est ton parcours ?

J’ai un parcours littéraire de Prépa Kâgne, Hypokâgne puis Science Po. Je n’étais pas forcément amenée à faire de l’immobilier mais au fil des rencontres dans la logistique et l’immobilier résidentiel, j’ai tissé des relations avec plusieurs dirigeants pour qui j’étais faite pour le développement. Dans les formations on nous disait que la voie royale est le programme, car plus sérieux, technique, organisé. Mais mon sens du relationnel, ma curiosité, et également les qualités de mes défauts m’ont poussée vers le développement. Et c’est dans le développement diffus que j’ai commencé à performer.

À l’époque Marignan m’a recruté, et j’étais une des seules femmes développeuses en IDF.

J’ai travaillé 15 ans dans le développement en diffus, passant des grands groupes à des promoteurs régionaux de taille intermédiaire. J’ai toujours rejoint des entreprises qui valorisent le diffus et la négociation. En effet la prospection fait partie de mon ADN, et je transmets ce goût de l’extérieur et de la relation à mes équipes.


Qu’est-ce qui te plaît dans le développement foncier ?

Dans le développement, ce qui me plait c’est avant tout : l’importance des rencontres et la qualité des liens que nous tissons et entretenons pour parvenir à bâtir. C’est un métier où le taux de casse est fort : il faut être passionné pour se réinventer, ce qui est mon cas.


Selon toi quelles sont les principales qualités que doit détenir un prospecteur foncier ?

La ténacité…, ou plutôt la résistance à la frustration !

Également il est nécessaire de savoir faire preuve d’enthousiasme et d’un fort sens de la communication. D’empathie également, c’est quelque chose qui ne peut pas se feindre. Il faut avoir un vrai plaisir à échanger, savoir emmener les gens dans notre histoire. C’est primordial.


Ton conseil pour un développeur qui démarre ?

S’accrocher. C’est un très beau métier, car on touche à tout en termes de domaines. On rencontre des univers très variés, en termes de culture générale également. On développe une curiosité et une expertise sur de multiples sujets.

C’est un métier qui n’a pas d’équivalent, car on est à la fois commercial, facilitateur, concepteur : on invente une opération là où vous aviez un garage, des pavillons ou une friche. Il y a quelque chose de magique, car on fait advenir des logements et on met en relation des profils diversifiés ; comme des architectes, bureaux études, etc.

Il y a évidemment des enjeux économiques, financiers, sociaux, urbanistiques.

C’est un métier qui ouvre sur beaucoup de possibles. Comme la technicité avec la problématique de sols, de l’archéologie ou les innovations architecturales par exemple.

Je m’amuse toujours autant sur les dossiers. C’est un métier qu’on aime transmettre. Il y a également une forte dimension de jeu dans ces métiers.


Quel est ton constat sur le développement foncier ?

C’est un domaine où on peut apprendre sur le tas. Mais depuis quelques années les profils s’uniformisent et c’est un peu dommage. Nous avons moins de développeurs qui viennent du droit et du commercial entre autres. Le développement, bien que plus technique reflète avant tout la diversité des relations. En effet il faut convaincre les collectivités, les propriétaires, nos partenaires techniques.

Pour inventer un projet il faut beaucoup d’énergie, de caractère et de ténacité.

En effet aujourd’hui la négociation concerne à la fois 50% des communes et 50% des propriétaires. Et le temps des négociations s’est considérablement allongé. Ce qui peux être très frustrant. C’est une certitude que le refus croissant des municipalités de bâtir est devenue structurant pour notre métier. Je constate actuellement que des développeurs changent de domaine car il y a un ras-le-bol de la situation.


Comment travaillais-tu avant d’utiliser Promolead ?

Avant j’étais directrice de développement, aussi j’utilisais comme beaucoup des tableaux Excel pour le Reporting et Kelfoncier pour la prospection. Promolead simplifie, accélère de manière substantielle la prospection grâce à des synthèse de la prospection. Cela nous permet la construction d’une vraie base de données.

Promolead m’a aussi permis de solutionner le sujet d’accès à des données personnelles qui est trait de notre métier et un enjeu fort désormais.


Quelle est la fonctionnalité que tu préfères dans Promolead ?

Sans hésitation ce sont les points fonciers pour nos points développement hebdomadaire et le Reporting que je peux partager avec le Directeur Général.


Comme vous recrutez, quels profils recherches-tu ?

Nous recrutons des prospecteurs et développeurs confirmés et juniors. En effet il y deux types de postes différents chez Priams, car cela permet aux responsables de développement de se concentrer sur la négociation et des terrains déjà qualifiés. Nous apprécions évidemment les candidatures spontanées !


Recommanderais-tu Promolead ?

Bien sûr ! C’est un très bel outil, je l’ai d’ailleurs recommandé à différents partenaires. On évolue de plus en plus vers du développement 2.0

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Arnaud Hamon – OGIC - Directeur d’agence Paris - Ile de France Ouest Promoteur immobilier
Arnaud Hamon
OGIC - Directeur d’agence Paris - Ile de France Ouest

“Promolead facilite le travail, le fiabilise, rend les échanges plus fluides et sécurise la data sur le long terme.”

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